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Capharnaüm

Tricotons pour les réfugiés #KnitForThem

Posté dans Capharnaüm, Fais-le toi-même
le 5 septembre 2015

[EDIT : Pour tricoter pour l’édition 2017, c’est par là !]

Voilà plusieurs jours que j’y pense et que je tourne en rond. Quoi faire pour aider, à mon petit niveau, les réfugiés et tous les drames qu’ils traversent ? Je dois vous avouer que je me suis sentie inutile et faible, avant de réaliser que c’était stupide et que moi aussi, je pouvais apporter ma pierre à l’édifice. Si je ne peux pas faire de dons conséquents et que je ne saurais pas comment aider dans une association, j’ai bel et bien deux mains. Et de ces deux mains, je peux créer, tricoter, crocheter pour ces réfugiés qui ont besoin de tout et pour qui le froid qui arrive sera terrible. Alors aujourd’hui, à ma petite échelle, je me lance !
J’aimerais créer un mouvement pour vous inviter, vous aussi, à tricoter pour eux. C’est comme ça que #KnitForThem est né ! Parce que finalement, toutes les personnes qui tricotent ou qui crochètent ont forcément des stocks de laines, des restes de pelotes dont on ne fait rien, autant s’y mettre pour aider ceux qui en ont besoin.
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(Merci à mes amies Anaïs et B. qui ont partagé avec moi une initiative londonienne similaire et qui m’ont mis un coup de boost pour me lancer et m’aider dans le brief, il ne manquait que ça pour que ma petite étincelle s’embrase et j’aurais pas sauté le pas sans elles <3 ).

Comment procéder ?

Il suffit de crocheter, tricoter ou même coudre des écharpes, snoods, bonnets, gants, mitaines, chaussettes, gilets, couvertures pour bébés… Tout ce qui peut tenir chaud, pour les adultes mais aussi les enfants.
Concrètement, les besoins les plus urgents sont pour les hommes (écharpes, bonnets, mitaines, chaussettes…), mais tout est bon à prendre alors tricotez, crochetez, cousez ce qui vous fait plaisir ! L’idée est de mettre de l’amour et de l’espoir dans chaque maille pour ceux qui recevront vos créations.
Lorsque vous avez terminé votre ou vos ouvrage(s), il vous suffira de me les envoyer et je me chargerai du don final à La Croix Rouge, Emmaüs ou une autre association d’entraide (le choix n’est pas encore fixé, plein de paramètres sont à prendre en compte et je dois encore me renseigner) qui se chargeront de répartir les vêtements et accessoires collectés. Idéalement, je prévois de faire le don le 31 octobre, donc il faudrait que tous les colis arrivent au plus tard le 25 octobre. Bien évidemment, vous pouvez commencer à envoyer avant selon vos disponibilités et vos envies.

Les priorités

Comme je le disais, les priorités sont :

  • des chaussettes / des guêtres
  • des gants / mitaines
  • des bonnets
  • des écharpes / snood
  • des couvertures : pour cela vous pouvez envoyer des carrés de 10cm par 10cm et nous les assemblerons !
  • des couvertures pour bébés (attention au choix de la laine)

Privilégiez des modèles pour hommes si possible

Où envoyer ?
Si vous décidez de participer à l’opération #KnitForThem, envoyez-moi un mail à rosechiffonblog@gmail.com et je vous transmettrai les coordonnées pour les envois. Avant tout envoi de colis, n’oubliez pas de me prévenir avant :)
crochet

Des tutos 

A mon avis, le plus simple sera le mieux, vous créerez plus rapidement et sans prise de tête. Voici donc quelques tutos pour vous inspirer. Et puis internet grouille de tutos, je suis sure que vous trouverez votre bonheur pour vous inspirer ! Voici donc une sélection de réalisations simples et rapides. On a aussi créé un board Pinterest avec plein de tutos. Hésitez pas à le consulter :)

Des ateliers tricot

Plusieurs rendez-vous tricot s’organisent et se joignent au mouvement #KnitForThem :

  • Lille : Le 25 septembre, à partir de 18h30 au Caf&Diskaire : Infos
  • Nantes : Tous les mardis, au Lieu Unique, à partir de 18h : Infos
  • Strasbourg : Le 10 octobre, de 14h à 18h, au Fou’d’Café : Infos

Pendant ces ateliers, vous pourrez crocheter et tricoter pour #KnitForThem mais aussi apporter vos créations ou de la laine. Je compte sur vous ?

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A votre tour d’aider !

L’aide de toutes les personnes tricotant et crochetant est la bienvenue, mais si ce n’est pas votre cas, vous pouvez aussi nous aider en nous fournissant de la laine si vous le souhaitez.
Je cherche aussi à organiser quelques soirées à Paris pour tricoter tous ensemble et produire pour les réfugiés en partageant entre nous. Si vous avez des locaux disponibles et que vous souhaitez héberger ce type de soirée, je vous invite à me contacter par mail : rosechiffonblog@gmail.com
Evidemment toutes les aides et les bonnes volontés sont bonnes à prendre, alors si vous avez d’autres idées ou que vous souhaitez simplement échanger sur le sujet, n’hésitez surtout pas à me contacter.
Je vous invite évidemment à partager cette initiative #KnitForThem le plus possible pour avoir de nombreux participants et donc de nombreux dons.

A vos aiguilles, vos crochets et vos stocks de pelotes ! Aidons, à notre échelle, ceux qui en ont définitivement besoin. Je compte sur vous ?

 

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Il y a eu…

Posté dans Capharnaüm
le 22 juin 2015

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Il y a eu cet appel, de l’autre bout du monde, pour m’annoncer cette nouvelle incroyable, l’excitation, le bonheur et la peur. Il y a eu des centaines de messages échangés, pour calmer mes peurs, m’apaiser et me préparer : oui, ils ont vieilli, ils ont changé, il ne me reconnaitra peut-être pas, elle risquera d’avoir les idées embrouillées. Il y a eu cette joie immense de ne plus être la seule de cette famille en France, de pouvoir dire « Oui, je vais voir mes  grands-parents ce week-end, ma famille ! » et d’en sourire, de ne plus me sentir si seule et de crever d’envie de sauter dans un avion pour être enfin auprès des miens. Il y a eu l’attente, avant leur arrivée, puis avant mon départ pour ce petit village perdu dans les Vosges.

Il y a eu ce trajet en train, interminable et terrifiant, cette boule au ventre de ne pas savoir comment j’allais les retrouver, dans quel état. Il y a eu les paysages qui défilent, totalement inconnus et cette frustration de ne pas avoir de souvenirs plus précis de ces montagnes. Il a eu ce changement à Nancy, en coup de vent, puis ce petit train qui roulait lentement entre ces villes qui m’évoquaient des choses plutôt floues. Lunéville et les jumelles-momies qui me terrorisaient, les montres qui parlent et les repas familiaux interminables quand on a 7 ans. Baccarat et sa poupée de cristal qu’on allait voir chaque année, et l’immense lustre dans la petite chapelle, les boutiques magnifiques où ma grand-mère rêvait en soupirant « ah, si j’avais les moyens » et le petit bracelet en cristal qu’elle m’avait offert pour mon anniversaire. Etival-Clairefontaine et son immense usine de cahiers, le camping où on allait tous les étés, le petit étang où je pêchais avec lui, la forêt de sapin où l’on cueillait champignons et myrtilles et les nuits dans la caravane du bonheur. Puis Saint-Dié, enfin, la petite gare, le quai désert, et au loin, la silhouette que je reconnaitrais entre 1000, la veste rouge impeccable et le sourire de ma grand-mère. Il y a aussi eu à l’écart, assis sur un banc, mon grand-père, son dos vouté et son regard si vide. Les larmes de pouvoir les serrer contre moi et de me dire « Enfin ! Enfin ! Deux ans, c’est trop long ! »

Il y a eu cette route que l’on ne reconnait plus, la forêt dans laquelle on rêverait de s’échapper et puis cette petite maison vieillissante, celle au toit le plus haut de tout le village. Cet escalier en bois immense, ce salon qui me semblait si grand quand j’étais enfant, et cette cuisine rudimentaire, comme arrêtée dans le temps. Il y a eu ce joli jardin, le grand potager et les roses trémières, le coin des framboises et des groseilles qui colorent les doigts et les joues. Il y a eu ces puzzles partout sur les murs qui me rappelaient ironiquement les bouts de mémoire que mon grand-père perd.

Il y a eu le silence de cette grande maison que la vie quitte au fil des ans, les secrets échangés, les histoires du Guatemala, les souvenirs vieux de toujours que l’on se raconte en souriant, que l’on connait par coeur mais que l’on chérit. L’usine de textiles, la fabrique de couverts, la vie en cité, les 4 enfants à élever et les réveils à 4h du matin. La vie plus douce à la Casa Chipie, l’arrivée de mes soeurs et moi, le soleil du sud et les grandes bassines dans lesquelles on pataugeait l’été. Il y a eu ces souvenirs de vêtements tricotés, de cavalcades en vélo, de tomates du jardin et des petits pois que l’on mangeait crus quand le grand-père ne nous regardait pas. Les confessions de bêtises datant d’il y a 20 ans et son regard rieur bien qu’un peu perdu. Il y a eu ces photos sur le buffet, celles qu’on connait par coeur et qui tirent des larmes parce qu’on ne les avait pas revues depuis des années.

Il y a eu les mains de ma grand-mères et le regard vague de mon grand-père, leur amour, leur lien si fort, la main de mon grand-père qui cherche irrémédiablement celle de ma grand-mère, ses doigts qui la serrent, serrent, serrent, comme si elle allait partir. Comme si c’était le seul lien qu’il avait encore avec la réalité. Il y a eu cette question qui m’a fait battre le coeur un peu trop fort « Et elle, tu te souviens de son nom ? » et ces 3 secondes interminables où tu pourrais t’effondrer. Il y a eu ce « bien sûr, c’est Célina », comme un regain de lucidité qui m’a tiré quelques larmes et a gonflé mon coeur. Il y a eu ce « Bonne nuit papi ! Bonne nuit mamie ! » et l’intonation que j’avais quand j’étais gosse, la surprise de retrouver ça aussi naturellement, sans y penser. Il y a eu ce moment, comme chaque soirs avec eux, où elle m’embrasse tendrement en me touchant la joue. « Bonne nuit ma douce ». Il y a eu cette chambre aussi arrêtée dans le temps, les draps jaunis, la couverture qui gratte et les larmes enfin, pour relâcher la pression.

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Il y a eu ce petit déjeuner calme, les mains qui tremblent, les cachets que l’on oublie, le thé qui soigne tout et les habitudes retrouvées. La goutte de lait dans le café et l’amour partagé pour la confiture de mirabelles. Il y a eu ce jeu de Dames qui appartenait à mon père et qui a tant voyagé, avec lequel on jouait pendant des heures avec mes soeurs et mes grands-parents, ces parties de Dames que mon grand-père me laissait gagner, et notre façon de jouer aux petits chevaux et de dégommer les pions gagnés d’un grand « Eeeet hop ! ». Il y a eu ce petit tour dans le jardin, le nez dans les roses et la lavande, l’herbe qui pique les pieds, les framboises volées et les groseilles transparentes et toutes sucrées. Il y a eu ce petit moment, rien que nous deux, comme quand on s’échappait dans les vignes en tête à tête, à vélo. Il y a eu mes mains pleines de fruits, cueillis pour lui, pour qu’il se souvienne lui aussi. Il y a eu ses mains hésitantes, son regard flou touché par l’attention et son sourire. Il y a eu ce moment dehors tous ensemble, moi allongée sur l’herbe froide et les discussions sans fin. Il y a eu l’herbe qui pique la peau, qui gratte et sur laquelle on se concentre pour ne pas regarder l’heure et penser au train qui nous attend le soir. Ce train qu’on redoute et qui nous serre la gorge et le coeur.

Il y a eu ce petit trajet en voiture, mon grand-père assoupi et ma grand-mère s’accrochant à mon sac, il y a eu mes larmes et les gorges nouées, les remerciements à n’en plus finir et les promesses de se revoir vite vite, de lui présenter notre enfant « mais ne tarde pas trop, on sait jamais et j’aimerais tellement le rencontrer », les larmes qui montent et la gare qui approche. Il y a eu ce « putain, je peux pas faire ça », les bras de ma grand-mère et les gros sanglots. Les « arrête, je vais pleurer aussi » et ses yeux tous rougis. Il y a eu le regard si vif de mon grand-père, sa joue qui pique et ses gestes maladroits, les « prends soin de toi Papi, promis, promis ? » et son grand sourire, ses yeux lucides, ce regard d’il y a 20 ans. Il y a eu les portes qui se ferment, le moteur qui redémarre et ce dernier coucou à travers la vitre, les larmes qui explosent enfin. Il y a eu ces « Je t’aime » coincés au fond de la gorge, ceux qu’on maudit de n’avoir pu dire. Ceux qu’on aimerait dire, mais qui ne sortent pas, à cause de la pudeur, cette pudeur totalement stupide. Il y a ces promesses de voyages futurs, pour les retrouver. Mais quand ?

Et c’est ça qui est dur. Parce que je ne sais pas quand je les reverrai, je ne sais pas si je les reverrais. Parce que s’il arrive quelque chose, je serai bien trop loin pour être là à temps, parce que l’autre bout du monde m’est inaccessible et ce flou qui m’entoure me rend dingue. Il y a eu ce train qui roule en bordure de forêt, ces immenses sapins que je voulais toujours rapporter dans le sud et les larmes qui se calment enfin pour laisser place aux sourires et aux souvenirs d’enfance. C’est vrai, je ne sais pas de quoi demain sera fait. Je ne sais rien, mais je sais juste que j’ai pu profiter d’eux pendant 24h, ce qui était totalement inespéré. J’ai pu récupérer des bouts de mon enfance en serrant tout contre moi ce plateau de jeu tant aimé, retrouver des goûts familiers en croquant dans les groseilles du jardin, valser avec nos histoires de famille, retrouver de vieilles photos. J’ai pu retrouver quelques heures la peau douce de ma grand-mère et les mains brunes de mon grand-père. Et c’est bien là, l’essentiel, non ?

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#TeaTag : le thé et moi !

Posté dans Capharnaüm, Théinomanie
le 21 avril 2015

Scoop ! Je suis une petite curieuse et j’adore lire les tags auxquels répondent les blogs que je suis. S’il y en a de nombreux qui existent déjà, comme les Liebster Awards, le KnitTag ou 20 facts about me… aucun tag n’existait sur le thé ! J’ai donc eu envie de créer le #TeaTag pour vous parler de ma fameuse théinomanie, mais surtout pour en apprendre plus sur vos habitudes de consommation de thé, vos petites manies et vos coups de coeur. C’est parti ?
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#TeaTag, les questions

1. Comment a commencé ton amour pour le thé ?
Mon premier souvenir lié au thé remonte à ma plus tendre enfance, avec le thé à la menthe que ma grand-mère nous préparait le soir. C’est pour moi un souvenir cher, réconfortant et terriblement gourmand ! Depuis, je voue une passion totale pour le thé à la menthe traditionnel, préparé dans une petite théière argentée et bu dans les jolis verres orientaux ! Quelques années plus tard, j’ai découvert à Montpellier Si le thé m’étais conté. J’étais rentrée par hasard car je voulais me tourner vers le thé au lieu du café, et je suis ressortie de là avec un énorme sac… C’est là que la spirale infernale a vraiment commencé !

2. Bien chaud ou glacé ?
Chaud ! Même si j’adore boire du thé glacé quand il fait chaud, j’ai du mal à me passer de mon thé du matin, pratiquement toujours chaud.

3. Tu es plutôt thé noir, vert, blanc, oolong, pu-erh ?
J’ai longtemps été thé noir, mais je suis totalement obsédée par les oolongs depuis quelques mois. Natures ou aromatisés, tout y passe !
feuille-oolong

4. Parle-moi de tes 3 thés préférés ! Et de celui que tu détestes !
La question est horriblement difficile, mais je dirais que je ne peux plus vivre dans le Oolong Milky de Theodor, le Figoolong de ChakaiClub et un bon Earl Grey (en ce moment je suis amoureuse du Earl Grey Royal de la Maison Bourgeon).
Et je déteste les thés fumés ! C’est vraiment ma limite, je ne peux pas les boire. Rien que l’odeur me dégoute. Le pire ? J’avais trouvé un Earl grey fumé, j’ai voulu tenter et c’était affreux ! Ascenseur émotionnel pour moi qui adore par dessus tout le earl grey !

5. S’il y a un moment thé dont tu ne peux pas te passer, ce serait lequel ?
Le matin, sur le canapé, avec mon amoureux. Difficile de commencer la journée autrement. C’est un petit moment à nous qui nous permet de nous réveiller en douceur !

6. Thé en vrac ou en sachets ?
En vrac mon capitaine ! Je trouve ça étrangement plus pratique ! Je dose à ma convenance, j’adapte à mes théières et c’est parfait. Pour ma part, exit les boules à thés, je n’utilise que des filtres en métal ou en papier. En plus, je trouve le rituel de la préparation du thé avec du thé en vrac plus intéressant et sensoriel. J’aime regarder les feuilles de thé s’ouvrir lentement et les manipuler une fois qu’elles sont infusées.
chakaiclub - Macaron poire

7. Sucre, miel, citron, lait ? Tu pimpes ton thé ou jamais ?
Rien ! Jamais ! Pitié ! Bon, ok… sauf dans le thé à la menthe, mais que du sucre !

8. Quel est ton dernier craquage ?
Lors de notre dernier voyage à Séville, dans les petites rues de la ville, j’ai trouvé une superbe boutique de thés en vrac ! J’ai embarqué avec moi le « Thé de Séville », un oolong au citron et à la fleur d’oranger, ainsi qu’un thé « Aphrodisiaque Hindou », oolong aux raisins secs, cannelle, cardamome, girofle, gingembre, cartame, fleurs et piment qui est étonnement doux !

9. Tu nous montres ton accessoire de thé préféré ?
Difficile de choisir ! Ici, les théières et les tasses, ce n’est pas ce qui manque. La théière qui m’est le plus précieuse est une petite théière rouge en métal, qui était dans le trousseau de mariage de ma grand-mère et que j’ai récupéré il y a quelques années. Si je ne m’en sers pas, c’est celle que je préfère pour sa valeur sentimentale. Sinon, je dois avouer être amoureuse de ma théière en porcelaine mint aux poignées argentées trouvée chez Emmaüs lors d’une jolie journée !
théière rouge vintage

10. Tu bois un thé en ce moment ? Lequel ?
Je dois une nouvelle petite merveille du Jardin du thé à Grenoble : un rooibos vert aux mirabelles. Je suis amoureuse ! J’ai une passion pour la mirabelle et je n’avais que très peu de rooibos verts. L’association est fabuleuse !

11. Tu as une petite anecdote à nous raconter en rapport avec le thé ?
Je convertis tous mes amis et mes amoureux au thé. Lentement mais sûrement. Je suis devenue leur « Madame thé » et viennent vers moi quand ils ont une question, une envie ou un doute sur un thé. J’adore avoir ce rôle là ! Le thé c’est pour moi une histoire de partage, c’est essentiel. D’ailleurs, grâce à ça, j’ai fait des rencontres fabuleuses :)

12. Une boutique à nous conseiller ?
Je ne saurais trop que vous conseiller le Jardin du thé à Grenoble, Si le thé m’était conté à Montpellier et l’Essence du thé à Paris. Ces 3 boutiques ont aussi un salon de thé et des pâtisseries divines !
Tant que j’y suis, pour les 3 du fond qui dorment, je suis aussi totalement amoureuse de ChakaiClub depuis le début et je ne peux que vous la conseiller ! Vous trouverez un assortiment très important, et Alexandra tient ça avec une passion dévorante :)

Les blogs que je tague

Les réponses de la #TeamTeaAddicts

Ce qui est génial avec ce #TeaTag, c’es que j’ai découvert plein de nouveaux blogs, plein de nouveaux thés et que je suis à deux doigts de craquer en permanence !
Voici les réponses de celles et ceux qui ont joué le jeu. Si vous répondez, hésitez pas à me faire parvenir votre article que je mette la liste à jour :)

Vous n’avez pas de blog et vous avez envie de répondre à ce tag ? Dites-moi tout en commentaire, je serais bien curieuse de vous lire !
J’ai oublié de vous taguer ? Désolée ! :D Mais n’hésitez pas à répondre et partager vos réponses avec moi :)

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